• La Rédaction

    Un combat chevaleresque au Moyen-Age : joute à la lance d'un lapin monté sur un homme-escargot, contre un chien monté sur un lapin.

    Image médiévale


    2 commentaires
  • Les batailles qui façonnèrent la France - Pierre Montagnon

    Balland ;  16 août 2018 ;  250 p.;   22€.

    Présentation officielle : « La France s'est faite à coups d'épée » a écrit Charles de gaulle.

    Batailles, victoires ou défaites, ont au fil des siècles façonné les frontières françaises.

    Tous les Français peuvent parler de celles de Marignan ou Austerlitz. En dehors de la gloire militaire qu'ont elles apporté territorialement à la France ? Rien ! D'autres mal connues ou ignorées ont progressivement élaboré le pré-carré national. Elles se nomment Muret, Formigny, les Dunes, Solferino et autres, dont hélas, Waterloo.

    Pierre Montagnon entend rapporter toutes ces Batailles qui, jusqu'aux dernières permettant d'y intégrer Tende et La Brigue, ont défini le présent hexagone. Il n'oublie pas celles qui ont procuré la France d'outre-mer en premier lieu la Corse.

    Les batailles qui façonnèrent la France - Pierre Montagnon


    votre commentaire
  • Variations sur l'Ancien Régime - Guy Chaussinand-Nogaret

    Vendémiaire ;  6 sept. 2018 ;  168 p.;   19€.

    Présentation officielle :  Un souverain régnant sans discernement, la corruption répandue partout, un clergé hypocrite assurant sa domination par l’intolérance… Les stéréotypes ont la vie dure sur l’Ancien Régime, référence obligée pour qui veut stigmatiser un système politique et social auquel nous aurions heureusement échappé grâce à la Révolution.
    Autant d’idées reçues héritées du XIXe siècle, que l’un des plus grands spécialistes du XVIIIe siècle français conteste ici avec force, à travers des études de cas très précises et documentées : fonctionnement de la cour, rôle des femmes, puissance de l’opinion… D’ailleurs, si l’Ancien Régime était si mauvais, survivrait-il encore, sous tant de formes, dans nos institutions actuelles ?
    Une réflexion décapante sur nos pratiques politiques. Et une contribution au débat jamais clos sur ce qui serait le meilleur système de gouvernement.

    Variations sur l'Ancien Régime - Guy Chaussinand-Nogaret


    votre commentaire
  • La Rédaction

    La symbolique présidentielle macronienne                         © Michel Euler / POOL / AFP

    La rentrée vient de voir l'adoption par Emmanuel Macron d'un symbole nouveau, parmi d'autres emblèmes traditionnels de la République, sur le pupitre présidentiel : une Croix de Lorraine.

    Pour commentaire libre, nous dirons que la Croix de Lorraine étant devenu un symbole à portée universelle, tout en demeurant celui de la Résistance et celui du Général de Gaulle, personne ne saurait se l'attribuer ou se le réserver et la remarque d'un député de droite, critiquant cette adoption, était déplacée. C'est par un singulier abus, pour la droite, et même - peut-être surtout - pour la droite dite "gaulliste", que de s'être assimilée pour Gaulliste depuis les années 60 à un étage, l'étage politique, où selon de Gaulle lui-même, il ne se situait pas. Encore faut-il distinguer plusieurs périodes, comme celle, à partir de laquelle il n'y aura plus rien du gaullisme, sinon dans le folklore, dans les formations conduites par Jacques Chirac. Ces formations n'ayant pas de point commun avec la doctrine du Général.

    Où certains médias se sont trompés, est leur utilisation du mot de blason,  celle, aussi d'armoiries, encore que pour ce terme, on puisse l'employer en un sens dérivé. Mais il existe bien une symbolique républicaine, de même qu'il existe un ensemble de pratiques non écrites, qui forment, avec l'utilisation de certains symboles visuels dessinés, la symbolique présidentielle.

    Mais dans quelle mesure y a-t-il pertinence dans le cas de cette Croix de Lorraine employée par l'actuel président ? Pour rester dans la seule optique qui puisse être la nôtre, celle de la symbolique, RoyautéNews se situant par nature hors de tout ce qui est politique au sens ordinaire du terme, on peut avancer deux remarques.

    La première est qu'un conseiller de l'Elysée a précisé officiellement la raison de cet emblème : le quinquennat comporte plusieurs commémorations du Général de Gaulle. Il n'y a rien à dire, sinon, que cette rencontre d'événements ne justifiait pas vraiment l'introduction de l'emblème, sauf si l'on profitait pour enrichir les références déjà choisies par le Président : mitterrandienne et giscardienne. Et appuyer un peu plus la différence de l'actuel chef de l'Etat.

    La seconde est double. Si l'on peut considérer que, par ses déclarations, les signes qu'il a soigneusement choisis avant même son élection, et même le renvoi dos-à-dos des formations classiques, dont les comportements ne sont pas à l'avantage d'une démocratie moderne, et si l'on peut trouver que l'emblème gaullien se trouve en terrain finalement et comparativement assez neutre, en France nous sommes bien loin de vivre dans un contexte gaulliste avec ces institutions européennes déphasées, gigantesques de moyens et de prétentions pour leur si piètre résultat ; à l'intérieur,  si éloignés des institutions de la V° République voulues par de Gaulle. En cela, toute référence à un symbole, avec lequel n'existe aucun véritable lien, ne devient plus, au fond, qu'une référence à un gadget.


    votre commentaire
  • Harkis ; Fidélité et abandon - Philippe Gloglowski ; Patrick de Gmeline

    Préface, Jeannette Bougrab ; Postface, François Meyer ; Coloriste, Vittorio Leonardo ;

    Triomphe ;  30 juin 2018 ;  à partir de 16 ans ;  15€90.

    Présentation officielle : Fondés en 1955 et recrutés massivement pour combattre le FLN, les supplétifs musulmans héritent d’une longue tradition de service des autochtones dans l’armée française. Mais fait significatif de l’époque, l’un des 1ers recruteurs des harkis est le FLN lui-même qui massacre impitoyablement tous ceux qui ne veulent pas rejoindre les katibas. Connaissant parfaitement le terrain et les hommes, les harkis s’avèrent indispensables dans la contre-guérilla qui sévit en Algérie en ces années. Mais l’ombre de l’incertitude plane sur leur avenir après la guerre : on leur promet une part importante dans la nouvelle Algérie pacifiée… Quand les négociations d’Évian commencent, les pieds noirs sont déjà bien différenciés des harkis. Pour le malheur de ces derniers ! Ils sont en effet considérés comme des traîtres par les nouveaux arrivants au pouvoir qui sont les anciens rebelles qu’ils avaient combattus. En effet, en 1962, leurs exécutions commencent, sous les yeux de l’Armée française qui n’intervient pas.

    Par peur des représailles, les harkis veulent se réfugier en France. Mais très peu réussissent à partir ; ceux qui restent sont discriminés et, pour la plupart, assassinés par leurs compatriotes. De son côté, le gouvernement français s’oppose à toute initiative personnelle des officiers qui tentent rapatrier leurs soldats en France. Ceux qui débarquent en métropole malgré cela sont parqués avec leurs familles dans des camps.

    Leur réhabilitation dans la politique française a pris du temps mais ils sont aujourd’hui reconnus et hommage est rendu à leur sacrifice. Cette BD participe à honorer la mémoire de ces soldats abandonnés par la France après l'indépendance de l'Algérie.

    Le commentaire de RoyautéNews : On parle beaucoup des Harkis en ce moment : remise de la Légion d'Honneur à quelques Harkis, un fonds de 40 millions d'euros - jugé ridicule par leurs représentants - exposition nationale... C'est tout à l'honneur de ceux qui, aujourd'hui, rendent hommage publiquement aux Harkis, alors que jusqu'ici, les gouvernants les ont ignorés - tout en recherchant leur vote lors des campagnes électorales - voire, injuriés par certains personnages en poste.

    BD :  Harkis - Philippe Gloglowski ; Patrick de Gmeline


    4 commentaires
  • Princesses de France  ; Reines d'EuropeLaurence Catinot-Crost

    Sutton  ; Collection Femmes dans l'Histoire ; 16x23 ;  5 sept. 2018 ;   176 p.;   20€.

    Présentation officielle : Laurence Catinot-Crost nous invite à découvrir le destin de femmes « bien nées » qui se sont illustrées en France et en Europe depuis la nuit des temps jusqu'à nos jours. Ces personnalités exceptionnelles ont contribué à sculpter l'identité historique européenne grâce à leurs talents, leur courage, leur esprit, ou ont juste, parfois, laissé l'empreinte de leur différence.

    Par RoyautéNews : un ouvrage généraliste en portraits courts de princesses de la famille Capétienne devenues reines dans un autre pays que le Royaume de France, et d'autres, venues d'Europe et devenues reines de France.

    Princesses de France  -  Laurence Catinot-Crost


    2 commentaires
  • Devoir d'obéir ou de désobéir - Jacques Dupire

    Jourdan ;  20 sept. 2018 ;  19€90.

    Présentation officielle : Le 22 juin 1940, le monde s'effondre pour les Français. Leur pays est à genoux. La meilleure armée du monde en 1939 est humiliée par les divisions allemandes.

    La France est coupée en deux. Une partie de son territoire est occupée. Le gouvernement de Vichy gère la zone dite libre. Les conventions d'armistice autorisent un embryon d'armée : l'armée de l'armistice.

    Mais les installations tant militaires que civiles sont à reconstruire. Le génie militaire doit donc perdurer pour remettre sur pied les lignes de chemin de fer, reconstruire les routes et les ponts et assurer le bon fonctionnement des infrastructures nécessaires aux armées.

    Cette mission est confiée au lieutenant-colonel Soubeyrand. Il doit choisir entre l'obéissance à un régime certes légitime, mais collaborant avec l'ennemi d'hier, et la désobéissance afin que le sol national retrouve sa liberté.

    Ce questionnement va animer bon nombre d'officiers durant les quatre années d'occupation.

    Devoir d'obéir ou de désobéir - Jacques Dupire

    Nous aimons la désobéissance à Royauté-News, sans pour autant conseiller la politique du pire... Mais c'est souvent la ligne du meilleur choix lorsqu'on hésite.


    2 commentaires
  • La Rédaction

    Ne vous inquiétez pas, vous de nos lecteurs qui consultent Point de Vue ! Il est en train d'arriver partout... peut-être. Les grèves dans la presse parisienne, commencées la semaine dernière, se poursuivent cette semaine de manière tournante, et certainement la semaine prochaine.

    Certains kiosques n'ont pas reçu le magazine. Il a été distribué le 19, à Paris, et aujourd'hui en Province, mais pas partout : certains colis ont été distribués à d'autres marchands, peut-être même "égarés", l'acte de grève se doublant parfois de vandalisme... La grève, la manifestation, utiles dans leur principe d'origine, ont en général fini par être dévoyées comme un mode d'expression ordinaire des partis et des syndicats.

    Le milieu de la presse conteste à raison certaines orientations. Ce n'était pas la peine de profiter, pour autant, de la rentrée et des mouvements sociaux, pour émettre son mécontentement, en prenant de surcroît en otage les lecteurs.

    Mais revenons à l'hebdomadaire : Le magazine des têtes couronnées serait-il le magazine des têtes d'affiche, voire, certaines semaines, celui des têtes à claques, comme la semaine dernière avec le mariage du fils de deux personnages politiques les plus catastrophiques des dernières décennies (le fils de F. Hollande et de S. Royal) ? Même s'il est vrai que la mariée est très bien.

    On se demande l'intérêt de ce mariage pour des lecteurs de Point de Vue ?

    La magnifique couverture du numéro de cette semaine sur le mariage (légèrement  anticipé sur ce qui avait été été annoncé) de Maximilien d'Andigné et de Sophie de Wurtemberg rattrape un peu celle de la semaine dernière, mais il est difficile d'effacer l'effet de "froid-chaud"...

    Le magazine avait été racheté par le groupe belge Roularta, derrière lequel se tenait un lobby flamand favorable à la partition de la Belgique, situation que Royauté-News avait dénoncée en son temps. C'était en même temps le "mariage" avec L'Express qui avait en même temps été racheté par le groupe belge. Conséquence du passage à la tête de la rédaction de Colombe Pringle, qui avait orienté le magazine vers le "people" avec ce qui s'ensuit. Sont arrivées ensuite les années noires, avec (presque) chaque semaine placardant en couverture, et chaque semaine à l'intérieur presque sans exception, la canaille sarkozyste. 

    Pouvait-on tomber plus bas ? Si, pour sombrer ensuite dans le rachat par... SFR... qui appartient au groupe de Patrick Drahi, ce franco-israélien dont les méthodes sont contestées puisqu'il joue à des acrobaties très en hauteur et comme un funambule sans filet.

    L'aventure a duré quelque trois ans, jusqu'à cette année 2018, où une société directe de François Pinault a racheté Point de Vue.

    D'autant plus intéressant que Stéphane Bern s'est associé avec François Pinault et est donc devenu actionnaire de Point de Vue...

    Nous aimons beaucoup Stéphane Bern pour ses efforts pour mettre en valeur le patrimoine des villages, ainsi que pour sa très belle idée de sauver des monuments en péril grâce à la Française des Jeux, et nous le plaignons de sa déception face aux montants ridicules des jeux alloués au monuments en péril...

    Quoiqu'il en soit de résultats prétendument positifs, avec une remontée infime et très récente du nombre des lecteurs, avec 152 000 ventes par semaine... ce qui est peu pour un titre assis depuis 1945 et distribué dans plusieurs pays étrangers ; en réalité, cette "remontée" masque une perte recensée depuis plusieurs années du nombre de lecteurs, et c'est une preuve de plus que l'on fait dire aux chiffres ce que l'on veut.

    Reste l'avenir : Point de Vue va-t-il continuer de multiplier des articles, certes très intéressants, sur l'art moderne, l'architecture moderne, le théâtre moderne, etc., mordant sur les contenus d'autres magazines généraux ou spécialisées et qui ne manquent pas... pour toujours resserrer les contenus sur les têtes couronnées ? Restera-t-il une courroie de transmission de la propagande des Orléans, malgré la distance que Stéphane Bern a marquée depuis des années entre la famille d'Orléans et lui ? Nous le verrons...

    Au sujet du magazine Point de Vue - rachat et orientations


    2 commentaires
  • Les Morisques et le racisme d'état - Rodrigo de Zayas

    La Différence ;  (1992) ;  30 mars 2017  ;   668 p.;  14x21 cm ;  30€.

    Présentation officielle : A partir d'un lot d'archives espagnoles baptisées "Archive Holland", nom de son premier propriétaire, intégralement traduite et publiée dans ce volume, Rodrigo de Zayas nous relate avec précision l'histoire des Morisques, ces musulmans espagnols convertis de force après la Reconquête et finalement expulsés de leur pays en 1609. Ce qui s'est passé entre 1609 et 1612 est généralement escamoté ou déformé dans les livres d'Histoire car il s'agit d'une de ses pages les plus sombres : la déportation massive d'un peuple.
    Avec l'aide des armées, selon sa foi catholique, c'est à cela que se prête Philippe III, roi d'Espagne, le 4 août 1609, à Ségovie, dans l'église Sainte Croix de l'ordre des Prêcheurs.

    Avis par RN 2 : A lire ce résumé, cela doit encore être du révisionnisme.
    Il y avait plusieurs groupes de Morisques. Lire aussi la Page sur les Morisques...

     

    Les Morisques et le racisme d'état - Rodrigo de Zayas


    2 commentaires
  • Par RN 2 et la Rédaction

    Pour signer la pétition

    Pétition nationale contre Linky

    Cette pétition est bien présentée même si nous ne partageons pas toute sa présentation, mais sur l'essentiel, refuser le compteur Linky, nous sommes d'accord. Pour nous, le refus est d'abord et doit être un acte de principe. Pour nous il ne doit pas s'abriter derrière un motif apparemment justifié, et par exemple celui qui revient toujours, même s'il est réel, le risque de santé lié aux ondes. Les autres arguments sont plus que justes et exacts, mais.. c'est prendre le problème à l'envers et c'est malheureusement le drame de toute question polémique... Nous y reviendrons dans quelques jours et dans le détail.

    Cela ne concerne que les Français (pour l'instant...). Nous conseillons à tous en France de refuser le compteur Linky, si le vôtre est déjà installé, ou s'il ne l'est pas.

    Nous transmettons à certains des opposants dès le moment où ils ne sont pas reliés au monde politique, des arguments décisifs qui ne semblent pas avoir été pris en compte.

    L'ignorance est le maître-mot de toute question aujourd'hui, et depuis notre précédent article sur Linky, plusieurs journaux s'interrogent, tous de façon naïve, sans aucune réflexion ni recherche, et l'on se dit que, pour eux, parler de Linky fait partie de la routine parce l'on en parle. Ils se tiennent à la marge des questions essentielles, et seulement à la lisière des autres, et se cachent derrière "les questions que se posent les utilisateurs"... ce qui est pratique pour éviter de fournir un avis.

    Leur attitude est démobilisante, et sur le mode du légume, ce qui ne les distingue pas du légume électeur ordinaire robotiquement docile et branché sur courant faible.

    Signalons que la pose du compteur sans autorisation préalable consentie est un viol de domicile, même si l'armoire aux compteurs se situe dans un escalier ou dans un local intérieur ou extérieur à l'immeuble, et  fermé. Mais l'accord tacite ne peut pas être retenu en raison parfois, et peut-être, souvent, du non-respect par Enedis du délai de 45 jours entre la lettre annonçant la pose, et la pose elle-même (voir notre précédent article).

    L'Humanité, qui cependant marque les points juridiques essentiels, reconnaît à juste titre que, dans le cas où un portail est fermé mais non verrouillé, et donc de considérer qu'il s'agit d'un refus tacite, "la jurisprudence ne s’est pas clairement positionnée". Cependant nous ajoutons que la riposte adverse est cousue de fil blanc. Les compteurs étant propriété d'Enedis, le droit d'accès par les représentants d'Enedis sont automatiquement acquis, et c'était déjà le cas avant, comme du temps où ils appartenaient à EDF. Au surplus, il arrive souvent, dans certains immeubles, qu'il  soit obligatoire que les armoires soient fermées, et cela est souvent conseillé (par les propriétaires, ou par les syndics) pour éviter les dérivations parasites. Et au surplus encore, la fermeture des armoires est effectuée par les représentants d'Enedis, à clé chaque fois que le système le permet.

    Citons encore l'Humanité pour ce passage essentiel, face à la désinformation d'autres médias paresseux, ou d'Enedis elle-même : "Contrairement à ce qui se dit, la loi de transition énergétique ne sanctionne pas le refus individuel de changer son compteur existant contre un Linky. Il faut le savoir même si Enedis (ex ERDF) prévoit de la contourner. La CRE (commission de régulation de l’énergie) menacerait de taxer 19 euros HT par mois le relevé manuel des compteurs à tous ceux qui refusent Linky (dont le relevé se fait à distance). Ce qui serait illégal !"

    Il faut donc ajouter qu'il ressort qu'un syndic d'immeuble ne peut se substituer à l'accord du locataire ou du propriétaire ; et selon nous, un accord du propriétaire ne peut annuler le refus du locataire qui doit l'emporter.

     

    Le réseau Stop Linky France regroupe 400 collectifs et c'est lui qui a organisé la présente pétition.

    Pour signer la pétition


    4 commentaires