• IRS ; Tome 19  -  Les seigneurs financiers - Vrancken ; Desberg

    Coloriste, Bérengère Marquebreucq ;

    Lombard ;  15 juin 2018 ;  12€45.

    La suite des aventures de Larry B. Max, agent spécial de l'IRS, l'organe de perception des impôts aux Etats-Unis. RoyautéNews

    IRS  -  Les seigneurs financiers


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  • La Rédaction

    Lire notre article Gigantisme économique, dont celui-ci est la suite.

    Elon Musk est un visionnaire, tout comme Bolloré en France ou Paul Allen aux Etats-Unis et dont nous vous reparlerons ou encore, Jeff Bezos.

    Elon Musk, patron de Tesla, la marque de véhicules électriques (pour l'instant) hors de prix et de Space X, sa société astronautique et spatiale - qui compte envoyer des hommes dans l'espace avant la fin... de cette année ! et qui travaille à des projets, tous plus incroyables les uns que les autres - Elon Musk, précurseur d'idées, serait donc, involontairement "derrière" ce nouveau coup fabuleux : Asgardia, la nouvelle "nation de l'espace". Ainsi se réalise une des "prédictions" de Royauté-News au temps de son ancienne rédaction, et qui mettait en avant les entités virtuelles issues de la conception du Web. Car à partir de la vision Muskienne, vient de se concrétiser Asgardia sous la houlette du scientifique et homme d'affaires russe Igor Ashurbeyli, qui devient le premier Président d'Asgardia !

    Sans doute lassés que les gouvernants traditionnels laissent au hasard et à l'incertitude l'avenir de l'Humanité et de la planète, certains pionniers se saisissent des nombreuses questions qui en découlent, laissant, au fond, les premiers s'agiter dans leur cloaque.

    IDA, l'Institut Diplomatique International, qui discrètement et depuis la 1ère décennie 2000 souhaite faire évoluer les conceptions en matière de droit international et dont l'idée est la suivante : à côté des états traditionnels, sont constituées de nouvelles entités, beaucoup plus évoluées que les micronations, reposant par exemple sur des mouvements d'opinion, ou sur des jeux vidéos - donc, situées dans l'univers virtuel - et ces communautés de joueurs rassemblent pour les plus connus plusieurs centaines de milliers de participants inscrits. Ces nouvelles entités cohabitant avec les premiers.

    Et surtout, obtenant les même droits, ou presque, et devant ce mouvement les Etats traditionnels renâclent à faire évoluer le Droit.

    A suivre...

     


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  • Le Prince rouge  -  Timothy Snyder

    Gallimard ;  18 nov. 2013 ;  384 p.;  22€90.

    Présentation officielle :  Des palais de la monarchie des Habsbourg aux chambres de torture de l'Union soviétique, ce livre fait le récit d'un vie hors du commun, suspendue entre l'effondrement des empires centraux, consécutif à la Première Guerre mondiale, et l'émergence de l'Europe moderne.
    William de Habsbourg, le Prince rouge, porta l'uniforme d'un officier autrichien, l'habit de cour d'un archiduc de Habsbourg, le simple costume d'un exilé parisien, le collier de l'ordre de la Toison d'or et, de temps à autre, une robe. Il parlait le polonais dans lequel il avait été élevé, l'italien de sa mère, l'allemand de son père, l'anglais de ses amis britanniques de sang royal et l'ukrainien de la terre sur laquelle il espérait régner.
    Parvenu à la majorité pendant la Grande Guerre, il avait rejeté sa famille pour se battre aux côtés des Ukrainiens. Quand le rêve de devenir leur roi s'effondra, il devint tour à tour un allié des impérialistes allemands, un célèbre noceur français, un monarchiste autrichien enragé, un adversaire de Hitler et un espion de Staline pour le compte des Anglais et des Français.
    Sur fond de capitales européennes et de champs de bataille, de stations de ski et de cellules de prison, Le Prince rouge saisit un moment unique de l'histoire de l'Europe où l'ordre ancien cède brutalement la place à un avenir incertain dans lequel toute chose, y compris l'identité elle-même, semble à saisir.

    Le Prince Rouge  -  Timothy Snyder


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  • Cet article a été publié le

    RN 2 s'est entretenue avec le maire de Chilly-Mazarin, Monsieur Funès, qui très aimablement lui avait fait écrire qu'elle pouvait le rappeler l'autre jour.

    Par RN 2.

    Visiblement il est maire de Chilly depuis longtemps et connaît très bien l'histoire de sa commune !


    1) Gardez-vous un sentiment, dans votre ville et dans votre région, pour les princes de Monaco qui, même s'ils ne venaient pas souvent, ont gardé jusqu'à la Révolution leurs propriétés ?

     - Oui : à chaque réunion d'accueil des nouveaux résidents de la commune, il y a une information à propos du rôle historique des princes de Monaco à Chilly-Mazarin. De plus, la revue municipale annuelle "Les Clefs de la Ville" se réfère au dernier marquis de Chilly, qui était prince de Monaco.


    2) Les princes de Monaco contemporains : le prince Rainier et le prince Albert, sont-ils venus chez vous, comme ils le font parfois dans des lieux liés à l'histoire de leur famille?

    - Ni Rainier, ni Albert ne sont venus, mais une délégation de la mairie (et des quelque 20 ou 30 mairies liées par l'histoire aux princes de Monaco) avait été invitée au 700ème anniversaire de la dynastie des Grimaldi, en 1997).
    Etaient présents les princes Rainier et Albert, pas les princesses.

    3) Le prochain mariage d'Albert et de Charlène vous touche-t-il un peu, à travers ces attaches anciennes ?
     

    - Oui.

    4) Y aura-t-il une délégation chiroquoise à ce mariage?

     
    - Non, il n'y a pas eu d'invitation.

     

    Articles précédents :  Les liens conservés entre leurs possessions en France et les Princes de Monaco ( 2) 

                                            

                                             Les Grimaldi en France et leurs liens aujourd'hui avec leurs anciennes propriétés   par RN 2


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  • Cet article a été publié le

    Nous commençons un tour d'horizon historique des principales propriétés possédées en France au cours des temps par les Grimaldi et par certains de leurs ancêtres qui les leur ont transmises

     

    Nous survolerons alternativement par des articles, ces lieux des Grimaldi possédés en France dans l'Histoire, et l'évocation des liens conservés entre eux et leur population, et la famille des Princes de Monaco.

     

    Pour ces liens,  voici le premier de ces articles, pour lesquels RN 2 a recueilli les déclarations des autorités locales.

     

    Les Princes de Monaco ont possédé le Comté de Ferrette (hérité du Cardinal Mazarin), et ils portent toujours le titre de Comte de Ferrette et de baron d'Altkirch ainsi que les autres provenus de cet héritage du Cardinal.

     

    Par RN 2.

     

    Ferrette

    Le 17 Juin. Le maire de Ferrette, Monsieur François Cohendet m'a gentiment rappelée ce matin !

    1) Gardez-vous un sentiment, dans votre ville et votre région pour les Princes de Monaco qui, même s'ils ne venaient pas souvent, ont gardé, eux et leurs ancêtres, jusqu'à la Révolution, leurs propriétés ? ( On dirait qu'il a compris la question comme "gardez-vous des liens" )


    - Les princes de Monaco n'ont pas conservé de bien sur place. La commune de Ferrette et les princes de Monaco échangent des vœux chaque année.

    2) Les Princes de Monaco contemporains  : Le prince Rainier, le prince Albert, sont-ils venus chez vous, comme ils le font parfois dans des lieux en rapport avec leur passé ?


    - Le prince Albert a visité ses possessions de la région il y a trois ou quatre ans, à cette occasion il a découvert Ferrette pendant une heure ou deux...

    3) Le mariage très prochain d'Albert et de Charlene vous touche-t-il un peu, à travers ces attaches anciennes ?

     

    - Toucher semble un grand mot mais il est ravi et leur souhaite beaucoup de bonheur et une nombreuse descendance.

    4) Y aura-t-il une délégation?


    - Ferrette a reçu un faire-part de mariage, sans invitation, donc il n'y aura pas de délégation.

    5) Dans le cadre des festivités médiévales de Ferrette, le mariage sera-t-il évoqué ? (Pan sur le bec!)
     

    - Elles n'ont lieu qu'une année sur deux, et pas cette année!

     

    Altkirch

    Le député-maire, Monsieur Reitzer, étant en mission parlementaire, c'est l'attachée culturelle, Madame Geneviève Risterucci, qui m'a répondu !
    En effet, elle est là-bas depuis vingt ans et a gardé la mémoire de beaucoup de choses !

     

     ( les questions auxquelles elle m'a répondu ensemble ) :

    RN 2 : Dans un peu plus de deux semaines aura lieu le mariage du prince héréditaire Albert II de Monaco, qui porte, entre autres, le titre de baron d'Altkirch.

    Les mêmes trois premières questions pour Ferrette, et : 4) Est-il prévu qu'une délégation altkirchoise assiste à ce mariage ?

     

      ... Alors, il y a un sentiment plutôt ténu en général.


    Les princes de Monaco sont restés propriétaires du château jusqu'en 1845, date à laquelle la commune le leur a acheté pour y bâtir une église.


    Lors de l'exposition (peut-être en 1997) sur les 1000 ans du château, les services culturels de la mairie d'Altkirch ont reçu l'aide du Conservateur des Archives et de la Bibliothèque de Monaco, Régis Lécuyer.


    En 20 ans de présence de Madame Risterucci, les princes de Monaco ne sont venus qu'une fois, à l'occasion d'un centenaire de l'empire des Habsbourg. A cette occasion, Altkirch a pavoisé aux armes des Grimaldi et les gens étaient ravis.


    Le prochain mariage touche essentiellement ceux qui s'intéressent aux mariages royaux. La mairie d'Altkirch n'ayant pas reçu d'invitation, n'envoie pas de délégation au mariage.


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  • Cet article a été publié le

    Notre série des châteaux qui ont appartenu plus ou moins longtemps aux Princes de Monaco ou à leurs parents, se poursuit ce soir avec cette ruine dormant dans les bois* : le château de Puyricard, dans les Bouches-du Rhône, en France. 

     

    Un Grimaldi d'une branche italienne, fut Cardinal et Archevêque d'Avignon, et fit du château de Puyricard, qui fut la possession il y a longtemps de la maison des Baux, sa résidence de 1655 à 1685. Nous évoquerons à nouveau cette résidence. 

     

    *(même si des maisons de villégiature sont bâties à côté). 

     

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  • Cet article a été publié le

    Dans la semaine, la première partie du reportage de Royauté-News autour des lieux anciennement la propriété, en France, des Princes de Monaco.  Nous avons interrogé les autorités avant le mariage du Prince Albert et de Mademoiselle Charlene Wittstock.

     

     

    Nous continuons notre série, alternant avec les propriétés d'hier et d'aujourd'hui des Grimaldi et celles provenant d'autres ancêtres. Aujourd'hui, le château de Marchais, en Picardie. Cette demeure appartient aux Princes de Monaco, et leur provient de leur aïeule, Caroline Gibert de Lametz, épouse au 19° siècle du Prince Florestan.

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    Le château de Marchais, en Picardie.


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  • Article publié le le

    Bâti vers 970 par le Comte de Vintimille, le château de Roquebrune,  l'un des anciens châteaux ayant appartenu du XIV° au XIX° siècle aux Princes de Monaco, qui ont construit certaines parties, conserve des restes actuels du château d'origine, dont le donjon, le plus vieux de France. Il s'élève à vingt-six mètres au dessus d'une roche abrupte surplombant le village, entouré à l'origine par l'enceinte.

     

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    Pour lire les articles précédents


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  • Article publié le le

    Le château de Roquebrune.

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    série à suivre.


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  • Article publié le le

    Notre série des lieux historiques de la famille de Monaco, et ceux des autres branches, et de certains de leurs ancêtres, se poursuit avec Roquebrune.

     

    Acquise au XIV° siècle, cette possession directe, c'est-à-dire appartenant aux Princes de Monaco, et associée traditionnellement  avec Menton, était l'une des plus importantes de leurs possessions.

     

    Menton et Roquebrune sont restées directement sous l'autorité des Princes de Monaco, jusqu'à une date récente.

     

    Cette perte est le résultat d'une longue évolution au 19° siècle, des relations entre Monaco et la maison de Savoie, ainsi que de la marche de l'Histoire qui a abouti en 1860 à la naissance de l'unité italienne. Napoléon III a rattaché Menton et Roquebrune à la France, à la suite des tractations  entre l'Empereur et la maison de Savoie.

     

    Mais jusqu'en 1860, outre la superficie réduite de Monaco, qui etait celle à peu près la même qu'aujourd'hui (ajouts gagnés sur la mer par la construction voulue par le Prince Rainier), Monaco possédait Menton, Roquebrune et l'équivalent du canton de Roquebrune, ce qui lui constituait une assise territoriale non négligeable. D'ailleurs d'autant plus que leurs anciennes possessions familiales se trouvant en France avaient été perdues par la Révolution.

     

    C'est au moment de la perte de Roquebrune et de Menton, que les Princes de Monaco se sont tournés vers les ressources qui allaient constituer bientôt la venue de riches visiteurs au Casino, projet présenté au Prince et bâti par Louis Blanc.

     

     

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    Château de Roquebrune. Première photo ci-dessus : © A.J. Cassaigne 2006

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    Texte © Royauté-News.    à suivre.


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