• La Rédaction       article complété et rectifié à 20 h 40

     

    Nous analyserons demain l'arrivée du nouveau Notre-Père dans l'Eglise officielle, et plus précisément dans l'Eglise de France (prévue pour Décembre 2017).

     

     « Ne nous soumets pas à la tentation... » prendra la forme prochainement, (forme en pratique depuis pas mal d'années chez des courants d'un style traditionnel ; explications en détail demain) : « Ne nous laisse pas entrer en tentation ». Alors que la véritable formule traditionnelle de l'Eglise, qui n'a jamais cessé dans la branche catholique fidèle (1) : « Ne nous laissez pas succomber à la tentation »... Après avoir causé des polémiques tenaces lors des changements au rouleau compresseur que les évêques de France, et d'ailleurs, ont provoquées lors de la mise en application du Concile Vatican II, les voilà qui effectuent à marche forcée des « retours en arrière » dont il ne faut pas être dupe.

     

    A lire, demain, le décryptage des méthodes de l'Eglise officielle.

     

    (1) Les fidèles catholiques des différentes branches ne sont pas en cause dans cette expression... La branche fidèle doit être comprise comme celle qui est restée totalement fidèle aux enseignements d'avant-Concile notamment.


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  • Les scandales de la République - Jean Garrigues -

    De Panama à l'affaire Cahuzac ; 

    nouveau monde éditions ; reparu le 24 Octobre 2013 ;  640 p.; 9 € 90.

    Présentation officielle : Depuis plus d'un siècle, la politique du scandale apparaît comme un sport national en France. Panama, Caillaux, Stavisky, Aranda, Broglie, Nucci, Méry... : autant d'affaires de corruption, d'abus de pouvoir, de trafics d'influence, qui ont alimenté les colonnes des journaux et les diatribes parlementaires. Autant de débats houleux, de campagnes de presse qui ont scandé notre histoire politique contemporaine. Car si la monarchie ou l'Empire avaient les moyens d'étouffer les " affaires ", la démocratie parlementaire leur a donné une exceptionnelle visibilité. Avec le recul de l'Histoire, Jean Garrigues ausculte une quarantaine d'affaires, les plus emblématiques et les plus retentissantes. Quelles sont leurs causes profondes ? Que nous révèlent-elles du système politique français et de ses failles ? Pourquoi certaines deviennent-elles des scandales tandis que d'autres sont étouffées ? Qui les fait éclater ? En d'autres termes, à qui profite le scandale et à quoi sert-il ?
    Bien sûr, le déferlement antisémite qui accompagna presque tous les scandales de la IIIe République n'a rien à voir avec l'atmosphère de ceux de la IVe, marqués par la guerre froide et la décolonisation, ou encore avec les scandales immobiliers des années 1960-1970. Cependant cet ouvrage démontre, sans esprit polémique mais sans complaisance, que tous obéissent à une même mécanique. Car le scandale est rarement un épiphénomène ou un événement autonome, il est bien au contraire un élément moteur de notre histoire politique, une arme dont tous les partis, à un moment ou à un autre, se sont servis.
     

    Les scandales de la République - Jean Garrigues


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  • Histoire secrète de la corruption sous la V° République -

    sous la direction de Yvonnick Denoël et de Jean Garrigues -

    avec Renaud Lecadre, Matthieu Pelloli, Jean Paul Philippe, Noël Pons, Yvan Stefanovitch, Jean-Michel Verne.

    nouveau monde éditions ;  paru le 14 Novembre 2014 ; 24 €.

    Présentation officielle : Inflation des campagnes électorales, financement des partis politiques, comptes en Suisse, emplois fictifs, résidences d'élus…D’une ampleur inédite, ce panorama brosse l’histoire des grandes « affaires » de corruption en France depuis le retour au pouvoir du général de Gaulle en 1958 jusqu’aux plus récents scandales. On découvre ici une corruption omniprésente, qui va prendre des formes différentes à chaque époque, mais de plus en plus sophistiquées après les lois de moralisation de la vie politique des années 1990.
    Loin de se limiter aux politiques, ce récit riche en péripéties traque aussi la corruption de nombreuses professions emblématiques : police, services secrets, justice, médias, sport… Tous les grands « corrupteurs » sont mis à nu: le BTP, la distribution d’eau et la propreté, l’armement, la grande distribution, le pétrole… Enfin toutes les formes de corruption, directes et indirectes, sont représentées .
    Cet ouvrage est rythmé par de nombreux portraits des principaux acteurs de la corruption « à la française ». Cette somme sans précédent éclaire d’une lumière cruelle les coulisses de la vie politique française, met en perspective des pratiques et des méthodes qui perdurent malgré les engagements répétés, le renforcement des contrôles… tout en apportant de nombreuses révélations et anecdotes inédites sur des affaires dont on croyait tout connaître.

    Histoire secrètre de la corruption sous la V° République -Yvonnick Denoël ; Jean Garrigues


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  • Pirates de tous les pays - Marcus Rediker -

    Libertalia ; Trad., Fred Alpi ; 2008 ; 2017 nouvelle édition ; 310 p.; 10 €.

    Pirates de tous les pays - Marcus Rediker

    Présentation officielle : L’âge d’or de la piraterie atlantique (1716-1726)

    « Maudit sois-tu, tu n’es qu’un lâche, comme le sont tous ceux qui acceptent d’être gouvernés par les lois que des hommes riches ont rédigées afin d’assurer leur propre sécurité. Ils nous font passer pour des bandits, ces scélérats, alors qu’il n’y a qu’une différence entre eux et nous, ils volent les pauvres sous couvert de la loi tandis que nous pillons les riches sous la protection de notre seul courage. »
    Charles Bellamy.

    Qui étaient les pirates ? Au nom de quel idéal ont-ils hissé leur drapeau à tête de mort, cet énigmatique « Jolly Roger » ? En quoi ont-ils perturbé durablement le commerce colonial et les traites négrières du début du XVIIIe siècle ?
    Dans cet ouvrage passionnant et novateur, traduit pour la première fois en français, Marcus Rediker raconte une fabuleuse histoire. Celle des quelques milliers de « scélérats » qui refusèrent de se soumettre à l’ordre mercantile et à l’exploitation pour préférer la liberté et la jovialité, dussent-ils le payer de leur vie.

    Professeur d’histoire à l’université de Pittsburgh, spécialiste incontesté de la piraterie et du monde de la mer, Marcus Rediker est l’auteur de L’Hydre aux mille têtes (éditions Amsterdam) et The Slave Ship (Viking/Penguin, prix George-Washington 2008). Sa thèse, Between the Devil and the Deep Blue Sea, est parue en juillet 2010 sous le titre Les Forçats de la mer (Libertalia).


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  • Moi Président  -  Olivier de Lagarde -

    60 idées pour changer la France ;

    Editions du Chêne ; 144 p.;  7 € 90.

    Olivier de Lagarde est journaliste, présentateur de Face aux idées de La Chaîne parlementaire. Il enseigne à Sciences Po Journalisme et il est rédacteur en chef adjoint de France info. Royauté-News

    Présentation officielle : Quelle serait la première mesure que vous prendriez si vous étiez élu à la présidence de la République ? Sur franceinfo, Olivier de Lagarde a posé la question tous les jours pendant un an à une personnalité de la société civile : philosophes, économistes, sociologues, écrivains, chefs d’entreprise, artistes, responsables d’associations ou citoyens engagés. Soixante de leurs réponses figurent dans ce livre, soixante idées profondes ou parfois insolites, soixante idées de Français hors du système, parce qu’un quinquennat est bien trop important pour le laisser aux seuls politiques…

    Moi Président - Olivier de Lagarde -


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  • Dictionnaire des injures littéraires - Pierre Chalmin -

    Le Livre de Poche ; (2010) 21 Mars 2012 ; 816 p.;  8 € 60.

    Extrait de la présentation : Les entrées de ce dictionnaire se caractérisent par trois principes : la notoriété de l'injurié, la qualité de celui qui injurie, et la tournure humoristique, outrancière ou d'une absolue mauvaise foi de l'insulte.

    Dictionnaire des injures littéraires - Pierre Chalmin


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  • Le deuil du pouvoir  -  Alexis Brézet ; Solenn de Royer -

    Les cent derniers jours à l'Elysée ;

    Alexis Brézet (préface) ; Maxime Tandonnet (Mac-Mahon) ; Jean-Christophe Buisson (Lebrun) ; Georges Ayache (Coty) ; Arnaud Teyssier (De Gaulle) ; Marie-Amélie Lombard-Latune (Pompidou) ; Guillaume Tabard (Giscard) ; Solenn de Royer (Mitterrand, Hollande) ; Philippe Goulliaud (Chirac) ; Charles Jaigu (Sarkozy).

    Perrin et Le Figaro ; paru le 26 Janvier 2017 ;  280 p.;  17 € 90.

    Présentation officielle : La chute est le meilleur révélateur de la tragédie du pouvoir, car elle découvre la vérité de l'homme derrière le dirigeant et expose comme jamais les travers de la comédie humaine.
    Le constat vaut particulièrement pour les sept premiers présidents d'une Ve République qui conjugue imaginaire monarchique et sacralité populaire du suffrage universel. Afin d'ancrer le propos dans l'histoire, trois chapitres auguraux sont consacrés aux fins de règne des Républiques mourantes : celle dite des ducs enterrée avec Mac-Mahon, la IIIe naufragée avec Albert Lebrun, la IVe sacrifiée avec dignité par René Coty.
    Fidèle aux précédents livres-chapitres portés par Perrin et Le Figaro, la rédaction associe historiens renommés et grands reporters, chacun racontant les cent derniers jours en fonction d'un président qu'il connaît à la perfection pour avoir écrit sur lui ou l'avoir suivi dans ses fonctions. Chaque contribution, écrite d'un style fluide, est riche en détails et aussi en révélations, par exemple sur la fin dramatique de Georges Pompidou ou l'« abdication » de François Hollande. Elle découvre à la fois le personnage public et l'être intime, sa vie quotidienne, son caractère, sa volonté de s'accrocher jusqu'au bout ou, au contraire, une forme de résignation due à la maladie ou à la conviction de la défaite. Elle dévoile enfin le poids de l'entourage, les coulisses des campagnes et des emblématiques passations de pouvoir. Les bassesses y côtoient l'abnégation et parfois la grandeur.
    Une grande leçon d'histoire qui en dit beaucoup sur le déclin du pouvoir et la crise politique française, mais aussi sur la force d'incarnation de la fonction suprême et la transcendance qu'elle confère, envers et contre tout, à ses détenteurs.

    Le deuil du pouvoir  -  Alexis Brézet ; Solenn de Royer


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  • Louis XI le méconnu - Gonzague Saint Bris -

    Albin Michel ; paru le 28 Octobre 2015 ;  247 p.;  19 €.

    En complément de notre présentation de son dernier livre. Comme le disait un article de notre Site retrouvé dans d'anciennes archives qui doivent dater de sa toute première version et écrit par son fondateur, « Gonzague Saint Bris ne fait pas que danser le Rock avec des jeunes filles sept fois plus jeunes que lui. Il dit aussi des choses intelligentes, dans VSD (semaine dernière)... »

    Présentation officielle : Avec une extraordinaire habileté politique, malgré une santé toujours chancelante et les misères du temps, parcourant sans arrêt son royaume, Louis XI consacra sa vie à une France qu'il voulut forte et prospère. Après avoir brisé les grands féodaux ligués contre la Couronne, il mit fin à la Guerre de Cent Ans, affirma pleinement l'autorité d'un Etat impartial, défendit le peuple contre les grands et s'opposa même à ce qui, en son temps, incarnait le fondamentalisme religieux, l'Inquisition.

    Aux antipodes d'une « légende noire » faisant de Louis XI l'universelle araigne, cette biographie nous fait découvrir un monarque à la personnalité complexe. Plus attachant qu'on ne l'a dit, plus subtil qu'on ne l'a cru, ce roi moderne que certains n'hésitèrent pas à qualifier de «prudent», nous en dit plus qu'on ne le pense sur la France d'aujourd'hui.

    Louis XI le méconnu - Gonzague Saint Bris


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  • Titus  -  Philippe Tarel -

    Ellipses ; biographie parue le 21 Novembre 2016 ; 408 p.; 24 €  50.

    Philippe Tarel est l'auteur d'une thèse, Défense et sécurité des cités de l'occident romain sous le Haut-Empire. Royauté-News

    Un résumé : Titus est une figure historique paradoxale et exceptionnelle au règne court (79-81 ap. J.-C). Une tradition, presque uniquement favorable, fit de lui un empereur idéal en oblitèrant la face sombre du personnage. Cette biographie s'attache à étudier les conditions de l'arrivée au pouvoir des Flaviens à la faveur de la guerre civile qui suivit la mort de Néron, lors de la terrible « année des quatre empereurs » ainsi que la marque qu'ils ont imprimée sur l'Empire romain.

    Titus  -  Philippe Tarel


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  • Par RN 2

    Une descendance quasi-officielle de Nicolas II

    Une descendance du Tsar Nicolas II existe et elle est aujourd'hui quasiment officielle en Russie. Le dernier souverain eut, d'une relation avec la célèbre danseuse Mathilde Kshessinska, plus tard titrée Princesse Kshessinska, qui avait été son amour de jeunesse. D'abord, quasi-officielle, avant ses fiançailles avec la Princesse Alix de Hesse. Puis, plus secrète, à l'automne 1910. 

    Par ailleurs demain, le 30 Mars, apparaît à l'écran le film Mathilda, en Russie.

    De l'avis général russe, ce film est une parfaite tromperie qui ne parle ni d'histoire réelle ni de danse,mais considéré comme une suite d'élucubrations.

    Le même sujet apparaissait dans l'épisode de la série « Révolution » (pour le centenaire des révolutions russes).

    Demain, nous publions le reportage complet sur la Princesse Kshessinska, les Sevenard ses descendants, et l'histoire du ballet russe jusqu'aujourd'hui les concernant.

    Descendance quasi-officielle de Nicolas II


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