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    par RN 1

     

    Tout d'abord, il faut dire au sujet des prétendants et parfois d'autres personnages de leur famille, que leur manière de communiquer habituelle est largement déplorable.

    De nombreux titres de presse, dont LCI par exemple, ont répercuté le contraire exact de ce que venait d'exprimer le Comte de Paris dans son communiqué. Ce dernier, comme  l'a fait de son côté la Fondation, se déclarait « satisfait que la Fondation Saint-Louis conserve la partie la plus historique du patrimoine monumental de la famille d'Orléans ». Ces médias ont écrit : « la part la plus historique du patrimoine monumental de la famille d'Orléans a été restituée aux héritiers ». Passons.

    Une communication correcte aurait évité aussi de voir faussement citée partout, parmi les biens immobiliers qui demeurent acquis à la Fondation Saint-Louis, "la chapelle expiatoire", car la véritable Chapelle expiatoire de ce nom, qui n'appartient pas à cet ensemble et n'a jamais appartenu aux Orléans, n'a rien de commun avec la Chapelle construite au 19° siècle après la mort accidentelle de l'héritier des Orléans, ici concernée. Passons.

     

    Quant à Maitre Baratelli, ses propos insupportables : qu'il s'agissait d'un jugement «historique» qui «voit un tribunal de la république restituer aux enfants de la famille de France des biens qui avaient été offerts par celui qui pensait pouvoir contourner les lois de la république», doivent être dénoncés. Cet insolent produit d'un Système morbide sans lien avec la vraie République, recevra si je le rencontre mon pied au fondement.

     

    A tout le moins, devrait-il se trouver quelqu'un dans l'entourage du Comte de Paris, pour déposer un signalement d'abus auprès du Conseil de l'Ordre des Avocats, pour ce procès d'intention fait au défunt Comte de Paris.

     

    Quant à la juste mesure qui prévoit que des héritiers reçoivent, à parts égales, elle ne fait pas partie du bagage républicain mais provient de Napoléon. Mais encore faut-il qu'un régime qui, si risiblement s'imagine comme le Phare du monde, soit incapable, par lacune conceptuelle et par lacune juridique, de distinguer des biens privés de biens historiques et d'intérêt national.

     

    Pour ma part, je considère qu'une partie de ces biens qui seront restitués, moralement n'appartient pas à la famille d'Orléans. Elle excède le patrimoine propre des Orléans, puisqu'il s'agit de biens du patrimoine français, issus de rois, comme Louis XIV, dont ils ne peuvent se réclamer moralement les héritiers, et que ces biens, en outre, ne sont ni partageables ni ne peuvent être considérés comme des biens de particuliers.

     

    J'affirme aussi hautement que le défunt Comte de Paris avait eu raison de mettre ce patrimoine à l'abri, ayant eu recours à une fondation, qu'il avait créée, formule classique et naturelle. Que la demande de restitution, émise par deux de ses dix enfants vivants, n'aurait pas dû être admise et que cette décision de justice ignore la volonté du défunt Comte de Paris. Cette décision traduit exactement la nature du régime français : attention portée à des détails (ici, des démarches pratiques oubliées par le défunt Comte de Paris), ignorance feinte vis-à-vis de l'essentiel; symptôme d'un état procédurier, jaloux de prérogatives qu'il s'invente pour mieux masquer sans doute, l'inanité de son existence.

     

    Maintenant, on doit se demander pourquoi le Comte de Paris n'a pas encore réagi à ce qui doit être l'essentiel : l'avenir de ces biens restitués ? Puisque ni lui ni les sept autres frères et sœurs n'ont suivi la démarche du Prince Jacques et de la Princesse Hélène, comptent-ils enfin indiquer s'ils renoncent à ces biens restitués, et souhaitent-ils qu'ils soient confiés aux Musées Nationaux ? Plus que la déclaration de circonstance du Comte de Paris pour une décision déjà attendue, c'est cette mise au clair qui semble urgente, et on l'attend encore.

     

    Rappellons que c'est bien Louis-Philippe, ancêtre des Orléans, qui a créé le Musée du Chateau de Versailles. Que donc, des procédures tangibles existent déjà pour recevoir le patrimoine historique, et que les pouvoirs publics ne devraient pas faire comme si cela, et d'autres précédents, n'existaient pas.

    On verrait alors le Musée de Versailles, ou celui du Louvre, emplir leur rôle, qui n'est pas de recevoir des expositions fantaisistes nées du caprice de fonctionnaires disposant de ces lieux de patrimoine comme s'ils leur appartenaient et leur faire servir des théories décadentes.

     

    Sujet prochainement à suivre


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    L'année 2014 succèdera à l'année 2013, précisément le 1er Janvier 2014 à 0 h 0 minute, et sitôt après le 31 Décembre prévu pour s'achever à 23 h 59 + une minute : ou 23 h 60, ce qui correspond à 24 h (ndlr).

     

    Rappel pour tous nos lecteurs du monde entier : les trois principales rubriques qui constituent aujourd'hui notre parution, sont comme Royauté-News en réduction, et l'architecture actuelle du Site : Flux principal de Royauté-News, Livres et Bibliothèque de Royauté-News, et l'Interview de Royauté-News. Occasionnellement d'autres sujets sont répartis dans les quelques rubriques munies, ci-contre à gauche, d'une étoile, ou dans d'autres rubriques. L'ancien contenu n'est plus accessible mais demeure conservé. Il réapparaîtra dans un certain temps.

     

    La rentrée sera particulièrement chargée et la parution essentielle en Octobre et Novembre sera consacrée à la mise en ordre de plusieurs aperçus, réflexions ou reportages consacrés à la question dynastique française.

     

    Une nouvelle série de photographies permettra au public de mieux connaître la seconde épouse de Don Jaime, Chef autrefois de la famille royale d'Espagne et héritier de la couronne de France : Charlotte Tiedemann, Duchesse de Ségovie.

     

    Ensuite, jusqu'à la fin de l'année et durant toute l'année 2014, notre thème principal d'arrière fond sera l'Afrique, et 2014 sera officiellement l'Année Africaine de Royauté-News.

    Comme nous l'avions annoncé, M. Nelson Mandela a effectivement retrouvé des forces et nous souhaitons qu'il continue vers un complet rétablissement. Il a quitté déjà l'hôpital le 1er Septembre. Il a fêté 95 ans le 18 Juillet. On peut dire que la communion quasi planétaire et les prières et les voeux ont certainement aidé à ce rétablissement.

     

    Dans les jours qui viennent, nous présenterons l'histoire essentielle de la maison de Bauffremont.

     

    Nous invitons les nouveaux lecteurs à consulter les pages de présentation que l'on trouvera facilement en descendant.

     

     


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    Bonnie Prince Charlie  -  par Isaure de Saint-Pierre -

    NeoBook éditions ; paru en Juin 2013 ;  5 99.

    disponible, entre autres, sur NeoBook.fr

     

    L'épopée du dernier Stuart.

     

                      d'Isaure de Saint-Pierre

    Le roman précédent d'Isaure de Saint-Pierre


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    Le « Roi » Morny - par Isaure de Saint-Pierre -

    NeoBook éditions ; paru en Décembre 2012 ; 5 99.

    disponible, entre autres, sur NeoBook.fr

     

    Un nouveau roman historique d'Isaure de Saint-Pierre.

     

    Pour voir le roman précédent               le roman historique suivant

    Isaure de Saint-Pierre - Le « Roi » Morny

     

     


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    Bien que pour nous le livre numérique ne soit pas l'avenir du livre, dont la remise en cause - comme d'aucuns s'y emploient - n'est pas recevable et dont l'usage restera toujours indispensable, cependant nous effectuons, avec retard, ces articles prévus l'hiver dernier, pour les parutions suivantes, car elles sont les derniers romans d'Isaure de Saint-Pierre, publiés chez un éditeur numérique à compte d'éditeur de qualité.

    Parmi les quelques arguments énoncés par Isaure de Saint-Pierre, est que les jeunes ne lisent plus. Une compensation disait-elle, pourrait se trouver dans la lecture numérique.

    Il est vrai aussi, que ce moyen permet d'emporter avec soi au loin, de la lecture pour les vacances.

     

    Cette promesse à l'auteur, enfin remplie, nous insérons ces ouvrages dans la Bibliothèque. Celui-ci est le premier ouvrage numérique d'Isaure de Saint-Pierre.  

    Les parutions de Neobook paraissent en deux formats afin d'être lus par toutes les liseuses. Au format ePub (place occupée 800 Ko) pour Apple, Sony, Kobo, Androïd, Bookeen. En Mobipocket (place occupée 4 Mo, les marques compatibles Kindle et Bookeen.

    "Qui est donc cet homme mystérieux qui se fait appeler « Prince Fedor » ? On le dit trafiquant d'armes ou de drogues, faux-monnayeur, ou héritier d'une immense fortune.

    Tant de questions tournent autour de ce personnage, et davantage encore lorsque ce dernier vient s'installer dans l'une des plus belles et prestigieuses demeures de Normandie, Pont-Damien non loin de Deauville. Son but ? Retrouver celle qu'il aime, mais dont il s'est éloigné. vingt ans plus tôt, au lendemain d'un drame qui les a tous les deux marqués à vie. Mais jusqu'om est-il prêt à aller pour la reconquérir ?"

     

     

    Le Prince Fedor - par Isaure de Saint-Pierre -

    Neobook Editions ; Paru en Décembre 2012 ; 5, 99 .

    disponible, entre autres, sur NeoBook.fr

     

    Les derniers romans d'Isaure de Saint-Pierre - Le Prince Fedor

     

    Et le nouveau roman historique d'Isaure de Saint-Pierre : Le « Roi » Morny


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    Retenez la date du 9 Novembre 2013 à 22 h 15 sur France Ô : diffusion du film de 52 minutes sur la descente du Fleuve Zambèze par Sophie de Courtivron et Christophe Saint-Joanis, dans l'émission Ô bout du monde présenté par Laurent Bignolas.

     

    Les trois épisodes de 26 minutes seront diffusés aussi sur France 5 début 2014.

     

    Le film de 52' a été sélectionné pour le Festival international du film d'aventure Les écrans de l'aventure de Dijon ( 10 au 13 octobre 2013) et pour le Festival du film d'aventures de La Rochelle (14 au 17 Novembre 2013).

     

    Et pour les Dijonnais :

    le film sera projeté le jeudi 10 Octobre à 22 h au Cinéma Olympia

                             et le Vendredi 11 Octobre à 14 h au Cinéma Darcy


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    Retenez la date du 9 Novembre 2013 à 22 h 15 sur France Ô : diffusion du film de 52 minutes sur la descente du Fleuve Zambèze par Sophie de Courtivron et Christophe Saint-Joanis, dans l'émission Ô bout du monde présenté par Laurent Bignolas.

     

    Les trois épisodes de 26 minutes seront diffusés aussi sur France 5 début 2014.

     

    Le film de 52' a été sélectionné pour le Festival international du film d'aventure Les écrans de l'aventure de Dijon ( 10 au 13 octobre 2013) et pour le Festival du film d'aventures de La Rochelle (14 au 17 Novembre 2013).

     

    Et pour les Dijonnais :

    le film sera projeté le jeudi 10 Octobre à 22 h au Cinéma Olympia

                             et le Vendredi 11 Octobre à 14 h au Cinéma Darcy


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    Royauté-News est favorable à la création d'une brigade transfrontières anti-braconnage pour faire cesser les massacres de grands animaux en Afrique ( rhinocéros, éléphants... )

     

    Elle doit être composée de spécialistes de la Brousse, si possible non africains, pour opérer sans violences autant que nécessaire mais capables de parer à toute éventualité. 

    Elle doit avoir un effectif réduit. Sa mission : arrêter les braconniers, détruire leurs moyens d'opération. Lorsque qu'elles ne peut pas les arrêter, les blesser.

     

    Cette mise sur pied doit être effectuées autant que possible par les états africains et par les Chefferies.

     

    L'initiative en reviendra à ceux des états, royaumes, ou Chefferies qui décideront les premiers de cette installation. Son budget serait assuré à tour de rôle, pour des vacations d'un an ou deux ans par exemple, les états pouvant s'associer pour une mise de fonds commune.

     

    C'est le seul moyen rapide et concret pour mettre hors d'état le massacre organisé des grands animaux.

     

    RN 1, RN 2


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    La vivisection peut être interdite si le seuil d'un million de signatures est atteint avant le 1er Novembre 2013. Elle a atteint à l'heure qu'il est 65,46%.

    Nous vous invitons à signer la pétition européenne contre la vivisection (clic !)

     

    La presse, comme femininbio, Charlie Hebdo, Doctissimo, en a parlé, comme les grandes organisations comme 30 Millions d'amis ou la Fondation Brigitte Bardot.

     
     
    Affirmée par la communauté scientifique, l'expérimentation animale n'a pas de valeur scientifique. Il n'existe aucune preuve statistique qui démontre son efficacité et sa fiabilité. Source éconature
     
     
    La Suisse a mis en place (source Animal on est mal,  citant Un zoo dans la tête ) le projet Inlivetox, qui utilise des cellules humaines reproduisant certains organes humains ainsi que la cicrculation sanguine.
     
     
     
    Nous conseillons aussi un autre moyen d'agir : ne plus acheter de produits détergents, ou tout autre produit, testé sur des animaux.
     
     
    Pour signer, les conditions sont contraignantes : adresse, date de naissance, numéro de carte d'identité ou autre document d'identification officiel (passeport).
     
    Nous suggérons à ceux qui signeront, de le faire à partir d'un poste chez des amis (et échange de même...) ou sur un poste public, au moins afin de ne pas fournir en plus les coordonnées de votre ligne de connexion.
     
     
    Le site de stopvivisection, organisateur de la pétition.

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    Ces trois photographies font partie de la série que nous avons publiée sur la Princesse Charlotte de Bourbon, seconde épouse du Duc d'Anjou et de Ségovie.

    Elles sont la propriété de M. Yvan de Wilde, que nous remercions.

     

    Nous avons apporté quelques retouches, signalées en bleu, à certains des articles de la série.

     

    Princesse Charlotte de Bourbon  (VI )

                à Milan en 1947      -    inédit    -

    Princesse Charlotte de Bourbon  (VI )

     Le Duc et la Duchesse de Ségovie à Capri en 1971 -

     

    Princesse Charlotte de Bourbon  (VI )

                       A Lausanne en 1979                         -    Inédit    -

    Pour cette parure, l'explication d'Yvan de Wilde : Doña Carlotta porte la broche “devant de corsage” commandée par la Reine Victoria Eugenie chez Cartier en 1920.

    C’est un important bijou transformable (13X18 cm), qui annonce l’époque Art déco, il est serti de diamants sur platine pour 41,5 carats. Y de W.

    © Yvan de Wilde

                                                                         article précédent

            Fin de cette première série


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