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    Même s'il peut être indiqué en divers endroits, la famille royale de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord a pour nom celui de Windsor.

     

    En effet, le nom utilisé dans la famille royale, de Mountbatten-Windsor, est naturellement réservé à ceux des descendants de la Reine Elizabeth et du Prince Philip, qui ne sont pas Altesses Royales.

     

    Les quatre enfants de la reine Elizabeth ont le nom de Windsor, comme les Princes William et Harry bien entendu.

     

    Trouvé ceci, doublement inexact : "le nom de famille du Prince William est Mountbatten- Windsor. C'est le nom de famille de tous les descendants du Prince Philippe et la reine Elizabeth II à l'exclusion des femmes qui se marient."

     

    Il s'agit d'informations totalement inexactes et dépourvues de fondement, comme on en trouve sur le Net, comme sur un site "encyclopédique" empli ordinairement d'erreurs, parfois volontaires dans certains cas sur des sujets d'Histoire et notamment, lorsqu'il s'agit des sujets relatifs à la royauté ou aux monarchies par exemple.

     

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  • On lit toujours que la famille royale d'Angleterre est présentée, avant le changement de nom, survenu en 1917 (afin de se démarquer, durant la Première Guerre Mondiale, de l'Allemagne), de la dynastie Saxe-Cobourg-Gotha, en dynastie Windsor. Cela nécessite une ou deux précisions.

     

    Edouard VII, fils de la Reine Victoria, montant en 1901 sur le trône d'Angleterre, autrement dit, le trône de Grande-Bretagne et d'Irlande, était le fils du Prince Albert  de Saxe-Cobourg-Gotha. On s'est alors habitué, par facilité, à parler de Dynastie de Saxe-Cobourg -Gotha. Ce qui est vrai, car la famille royale adoptait le nom de Saxe-Cobourg-Gotha, et en outre, déjà de leur côté les Saxe-Cobourg-Gotha eux mêmes sont une dynastie. Et parce que le Prince Albert léguait naturellement à ses enfants les titres venant de ce côté, la maison de Saxe-Cobourg et Gotha.

     

    Mais en réalité, la dynastie anglaise continuait d'être, du point de vue de l'Histoire et en tant que dynastie des rois d'Angleterre, celle de Hanovre. Une sorte de confusion est entraînée par le fait que l'on utilise ce nom de Saxe-Cobourg-Gotha adopté par la famille royale anglaise, pour elle, et ce, jusqu'en 1917 lorsque le nom, à consonnance anglaise, et pour bonne raison puisqu'elle correspond à une propriété des rois d'Angleterre, Windsor Castle, dans le Comté de Berckshire.

     

    Il n'existe qu'une dynastie anglaise, depuis Guillaume Le Conquérant, malgré la succession des dynasties qui ont occupé le trône d'Angleterre.


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  • On dit que le mariage du Prince William avec Catherine Middleton est avec "une roturière'. Si cela est vrai  strictement, ce genre d'expression, non seulement je le condamne, car elle si abrupte, et car depuis longtemps on n'utilise plus depuis si longtemps ce genre de notion, mais en plus, cette époque actuelle en est si éloignée.

     

    Mais on la trouve encore, et pourtant, les mariages entre un prince ou une princesse avec un conjoint venu d'un horizon entièrement différent, et n'appartenant plus au petit nombre des familles royales ou princières, sont devenus courants !  Nous reparlerons par la suite de cette question en général.

     

    Cette expression très abrupte et très étrangère en général aux conceptions, n'existent plus depuis très longtemps dans le langage, spécialement en France, sauf chez un public qui ne connaît pas quelle a été leur évolution, et elle n'existe plus que dans la presse dite people, celle qui aime ces histoires-là, qui ne trouvent que dans le conte traditionnel du prince et de la bergère.

     

    On a dit qu'il existe une façon très lointain de relier William et Catherine, à une distance de 14 ou de 15 degrés (selon la façon de compter) et j'avais été réjoui voici quelques mois d'apprendre cette annonce que les fiancés étaient cousins. N'ayant pas eu le temps -jusqu'à maintenant où j'espérais rechercher - de manière juste, et non à travers la presse - la réalité de cette descendance de Catherine depuis les rois d'Angleterre. Elle est je pense exacte, puisqu'elle n'a pas été démentie depuis.

     

    Je voulais apporter quelques autres pistes anecdotiques, en somme. L'ascendance de Queen Mum comporte parmi ses ancêtres une Middleton... J'ignore s'il s'agit de la même famille que celle de Catherine, et pour la même raison que je n'ai pas eu le temps de chercher cela ! Mais déjà, au sein du paysage aristocratique anglais, Middleton existe déjà. Sous la forme du titre baron Middleton, appartenant à la famille Willoughby. Middleton se trouve dans le nord de l'Angleterre, et de son côté la famille de Catherine descend d'une riche famille de marchands de laine du nord de l'Angleterre. Je n'ai donc pas eu le temps de poursuivre plus avant les investigations. 

     

     

    Je tiens à relever quelque chose dans le numéro spécial consacré par Point de Vue, 10 siècles de mariages à la cour d'Angleterre, même si je ne lis plus depuis longtemps la revue, j'avais pris ce numéro spécial, dont le contenu est riche, intéressant, et qui a demandé beaucoup de travail. En ce moment, je réserve également les numéros hebdomadaires, en raison des événements.

     

    Un passage concerne la remarque citée par la revue, au sujet du Duc d'York avec la future Queen Mum, lorsque le leader travailliste avait déclaré, dans l'édition spéciale du Times : "satisfaction des patriotes du fait que le prince ait choisi une femme " britannique jusqu'à la racine des cheveux". Que confirmait ensuite le Duc d'York : "Je vous présente une brave écossaise". La revue indique, au sujet de la Reine Mère Elizabeth, que par la famille Bentinck elle avait des ancêtres hollandais. Je tenais à relativiser ce passage.

     

    Ce côté de son ascendance, par les Bentinck, ne comporte que quelques gouttes de sang hollandais, car la maison Bentinck, même si elle est originaire de Hollande, est devenue une pure famille anglaise. La dynastie de Comtes de Portland, devenue les ducs de Portland, sont nécessairement une famille anglaise, mariée avec les grandes familles d'Angleterre. Et par ailleurs, par sa mère, Nina Cavendish, la Reine Mère - et qui descendait des Stuart, était non seulement écossaise, mais aussi anglaise ! 

     

     

    Article court à suivre


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    Il s'agit bien de refonder l'Europe. Et sur des bases nouvelles et fortes.

     

    L'Europe institutionnelle actuelle reste enlisée après soixante années de discussions, de chuchotements, d'expectative. Mais de lourdeurs incommensurables, et d'une bureaucratie sans fond. Ne sont sortis de cette errance, qu'une constriction des Europes, des états qui les fondent, que le seul vide face au monde, qu'une réussite, seule : l'impuissance !

     

    Voilà le défi que nous relevons.

     

    Le futur article reprendra La fondation de l'Europe, déjà paru par ailleurs et qui n'est plus visible.

     

    Un espace s'ouvre ici sur Royauté-News, consacré à l'Europe à travers la pensée monarchique européenne qui prend ici ses quartiers.



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    L'un des drames de l'Histoire Chrétienne et de l'Histoire tout court, est celui de la séparation du Protestantisme depuis le XVI° siècle.

     

    Cette opposition reste vivace aujourd'hui, - et malgré le Concile Vatican II - car les plaies ne se sont pas refermées. La culture, très différente s'est développée, maintenue, dans les foyers du Protestantisme, tandis que le Catholicisme, avançant toujours lentement malgré quelques attitudes symboliques qui appartiennent à un passé déja lointain, ou à des réflexions de spécialistes, n'a véritablement pas engagé de démarches actives pour ouvrir et animer une possible proximité, et refermer la rupture. 

     

    J'affirme que les Protestants sont des frères pour les Catholiques. L'une des racines chrétiennes de l'Europe de l'Ouest est celle du Protestantisme, dans ses deux familles principales que sont le Luthérianisme et le Calvinisme, avec leurs dérivés.

     

    Les rapports entre l'Eglise Catholique et les autres grandes confessions chrétiennes, leur ont permis de se rapprocher depuis le 19° siècle, marquant de grandes étapes de l'Histoire, comme la réconciliation entre l'Orthodoxie et le Catholicisme scellée en 1965 par le Pape Paul VI et le Patriarche Athenagoras, et comme la réconciliation par étapes entre l'Eglise Anglicane et Rome, conduite durant ces années très récentes, par la famille royale d'Angleterre, notamment par le Prince Charles, et par le Pape Benoît XVI, et jusqu'à l'Automne 2010, celui-ci étant reçu par la Reine Elisabeth et le Prince Philip !

     

    Ce dialogue, historique, et la reprise depuis la rupture si longue entre Rome et Londres suivaient l'apaisement historique lui aussi, après des générations d'affrontements dramatiques sur le sol Irlandais. 

     

    Dans la voie nouvelle qui creuse un sillon d'une conception des choses, c'est-à-dire dans cette voie monarchique qui se manifeste peu-à-peu [ loin des conceptions traditionnelles des courants monarchiques existants ] - et que nous retransmettons, il doit s'ouvrir un chantier de reconstruction de la fraternelle relation, sans souhaiter fondre les cultures et conceptions catholique et protestante, dont la sensibilité réciproque ne peut que  demeurer la sienne, mais vers les retrouvailles,  puisant à la fraternelle source.

     

    La Monarchie nouvelle, possible, et à l'échelle même de la civilisation, espère se voir retrouver les branches séparées, à l'Ouest, issues de la même mère, rapprochées, réunies, dans le même creuset chrétien dans la même vaste Europe !


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    C'est bien l'instabilité qui prédomine, partout, dans le monde, comme secoué de bouleversements permanents et de grande ampleur, mi-prévisibles, mi-subits.

     

    Il ne semble pas que la spirale puisse pour l'instant s'inverser, tout même soit engagé dans un processus glissant vers le chaos général.

     

    Il faut bien constater que l'incapacité foncière des décennies occidentales, jusque ici, n'ait rien provoqué qu'une gigantesque balkanisation du monde tout entier.

     

    On ne peut faire aucune confiance à des états-systèmes, d'ailleurs conduits par des administrations hybrides, dont les conceptions, voire même, dont les directives ne semblant que vers une marche concertée vers la désorganistaion puis vers le chaos, sont pour le moins mal définies. C'est donc ailleurs qu'il consiste à prendre conscience que des chemins doivent s'engager.

     

    C'est, parmi les acteurs diplomatiques, ceux qui apporteront sans doute un renouvellement et des conceptions nouvelles. Ils appartiennent aux intervenants indirects, participent au théâtre du monde mais, bien qu'au contact des cercles, ne sont pas conviés dans le cadre officiel des décisions.  Il faut dire que les institutions classiques se raidissent devant la possible intervention, qui s'était dessinée ces dernières années, entre autres, des ONG, par exemple.

     

    Royauté-News est favorable à cette pluralité des intervenants diplomatiques, et nous informerons sur ces perspectives, et nous en reparlerons.

     

    Avant même de dessiner un panorama des réalités parallèles ignorées hors du cadre des décisions, c'est bien avant tout qu'il faut prendre conscience que l'on ne peut plus compter sur ceux auxquels est confiée pour l'instant la survie du monde. C'est donc d'une psychologique et considérable ampleur, que repose cette évolution radicale des esprits. Il s'agit bien d'une reprise de conscience.

     

     

     

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    Ile flottante


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  • 05

    par T.R.

     

    La France arrête le président élu, ou se prétendant tel avec à peu près autant de vraisemblance que son adversaire, d'un État souverain.


    Je ne pleure pas particulièrement Laurent Gbagbo qui s'est avéré être un tyran. Néanmoins, rien ne laisse penser à ce jour que son adversaire Alassane Ouattara le soit moins que lui.
    Surtout, c'est la première fois depuis l'indépendance des colonies, que la France intervient ouvertement pour livrer pieds et poings liés un pays à un dictateur de son choix, qui n'a pas été choisi par le pays lui-même (les deux dictateurs ont été très largement plébiscités dans leurs zones d'influence respectives, sans que l'on puisse considérer cette élection comme libre).

     

    [ J'ajoute qu'on reconnaît à la Libye le droit à choisir elle-même son régime, en se contentant de pilonner des colonnes pour empêcher une véritable guerre, mais pas à la Côte d'Ivoire, je vais jusqu'à me demander si ce n'est pas du racisme. ]


    Cela suscite chez moi deux craintes.

    La première, c'est d'être taxés à juste titre par l'Afrique et le monde, de colonialisme (même pas néo-colonialisme).


    La seconde, c'est que le sang des futures victimes du dictateur Ouattara ne retombe sur la France et les Français (alors que notre pays n'était jusqu'ici, pas spécialement responsable du sort des victimes de ces deux dictateurs).

     

    Je suis triste.

     

    03


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  • Natalia Vodianova, l'une de mes préférées, a lancé le Semi-Marathon de Paris le 7 Mars 2011, auquel elle a participé pour soutenir sa fondation Naked Heart Foundation, au profit des enfants des villes en Russie.

     

    Une marathonienne, que j'aurais eu plaisir, si j'avais pu faire entrer cette occasion utile dans ma grille du mois de Mars !

     

    La Princesse Beatrice d'York participait l'année dernière, le 27 Mars 2010 au Marathon de Londres. Le Prince Louis de Bourbon participe au Marathon de New-York depuis trois ans et dimanche, il courra le marathon de Paris. Il flotte comme un air de mode pour ces réunions populaires, des institutions classiques. 

     

    01

    © Life

    02

    © Figaro Madame / Wireimage


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